vendredi 28 juillet 2017

PÉRIGUEUX - BERGERAC : L'ÉTAPE DU TOUR 2017 EN DORDOGNE-PÉRIGORD

Avec Stéphane, nous avons effectué le parcours de la dixième étape du Tour de France 2017, sur les traces des coureurs de la Grande Boucle… Un grand merci à lui pour avoir bien voulu m'accompagner dans cette aventure!

La photo du jour

Avec Stéphane peu après l'arrivée (photo prise à Mauzac, sur la route du retour)

L'étape du Tour 2017 en Dordogne - Périgord

Cette année, le Tour de France avait choisi de passer du temps en Dordogne : deux journées complètes et le début d'une troisième! Le 10 juillet, c'était la journée de repos à Périgueux. Le 11 juillet, l'étape se déroulait dans son intégralité à l'intérieur du département, entre Périgueux et Bergerac. Et le 12 juillet, le départ était donné depuis la bastide d'Eymet.

L'affiche promotionnelle du Conseil départemental

Une journée de repos en Périgord, j'ai souvent l'occasion d'en vivre!… Je n'ai pas besoin du Tour de France pour me motiver!

Mais parcourir environ 180 km à travers le département sur les traces des coureurs professionnels en faisant “L'étape du Tour 100% Périgord”, ça, c'était une idée intéressante et motivante. Elle m'est venue à l'esprit dès l'automne 2016, lorsque j'ai pris connaissance dans la presse locale du parcours de l'édition 2017. L'idée a mûri…

Tracé de la 10ème étape du Tour 2017 (extrait d'une brochure départementale)

Le 11 juillet dernier, en regardant à la télé la dixième étape du Tour de France, je me suis dit que c'était une étape particulièrement touristique et que le peloton semblait prolonger la journée de repos en effectuant une belle balade tranquille dans un décor magnifique, avec en vedette le site de “Lascaux IV”, sur la commune de Montignac, extraordinaire reproduction de la grotte de Lascaux inaugurée en décembre 2016.

Lascaux 4 sur le parcours de l'étape du Tour en Périgord (document Internet)

Sur cette étape, Franck Ferrand, le nouveau consultant de France TV en “histoire, géographie et tourisme” a eu fort à faire. A écouter le commentateur, il paraissait manifeste que le côté sportif passait au second plan. Au fil du parcours et des images de l'hélicoptère, on ne comptait plus les châteaux, les sites marqués par le souvenir de la préhistoire, les paysages remarquables… L'historien passait des habitations troglodytiques aux somptueuses demeures médiévales de Sarlat, de la vallée de la Vézère à celle de la Dordogne…

Franck Ferrand commente le Tour de France 2017 (photo France TV)

Bref, la retransmission télévisée nous a proposé un véritable catalogue touristique pour faire la promotion du Périgord éternel, avec en point d'orgue une invitation à découvrir le tout nouveau “Lascaux IV”.

Pour nous qui sommes cyclotouristes, allier sport et tourisme nous a semblé un projet extrêmement pertinent! Nous étions prêts pour nous lancer vaillamment sur les routes de l'Étape du Tour 100% périgourdine : Périgueux - Bergerac

➜ Voir la page officielle sur le site du Tour : Etape 10

Profil officiel de l'étape du Tour en Dordogne (document ASO)

Notre organisation

Pour rejoindre la ligne de départ à Périgueux, nous avons effectué un transfert en deux temps : 7 km de vélo de nuit sur route plate pour nous rendre à la gare du Buisson-de-Cadouin, suivis d'un trajet en train. Cette option nous a imposé un départ bien matinal, le train quittant le quai à 6h27. A 7h16, nous arrivions en gare de Périgueux-Saint-Georges, la plus proche du départ réel de l'étape, situé à Boulazac, en banlieue est de Périgueux.

Transfert en train

En vue du retour depuis Bergerac, j'avais déposé la voiture la veille à proximité de l'arrivée, du côté de la Plaine des Jeux de Picquecailloux. Puis j'étais rentré à la maison en vélo. Ça nous a permis d'être parfaitement autonomes à notre arrivée à Bergerac…

Pour ne pas avoir à chercher la route, j'ai tracé l'itinéraire sur Openrunner puis je l'ai chargé dans mon GPS. Pour effectuer ce tracé, je me suis inspiré du parcours officiel ainsi que de l'enregistrement obtenu par le GPS de Lilian Calmejane, que j'avais retrouvé sur Strava.

Parcours officiel de l'étape du Tour en Dordogne (document ASO)

Notre étape du Tour

Stéphane et moi démarrons de Périgueux à 7h20. Sur les premiers kilomètres, il nous faut supporter l'important trafic de camions se rendant à Saint-Laurent-sur-Manoire pour prendre l'autoroute. Il fait plutôt frais, à peine 12°. Mais nous allons bientôt nous réchauffer grâce à la longue montée vers Thenon.

Sortie de Périgueux, en direction de Boulazac

Nous montons jusqu'à Thenon à un rythme soutenu. La descente qui suit, en direction de Montignac est très roulante. Ainsi, après 45 km, au moment d'aborder un petit raidard qui précède l'entrée dans Montignac, mon GPS m'indique que nous avons roulé jusque là à une moyenne de 29,9 km/h. Je me dis que ça va sûrement se payer plus tard… Mais pour le moment, j'ai le sourire : les jambes répondent bien!

Je me dois de reconnaître que le raidard dont je viens de parler n'était pas sur le parcours officiel… C'est moi qui me suis trompé en traçant le parcours. Je nous ai fait passer involontairement sur une pente aux pourcentages frisant les 13%, sans doute pour nous permettre de suivre un camion-poubelles aux odeurs stimulantes… En effet, nous avons monté beaucoup plus vite pour pouvoir le doubler… C'est peut-être ça le secret d'entraînement de l'équipe Sky…

A partir de Montignac, nous rejoignons la vallée de la Vézère, que nous suivons par la rive gauche, en empruntant une route tranquille que je ne connaissais pas. Cela me permet de découvrir le château de Losse. Je décide de faire un arrêt pour prendre la photo.

Château de Losse

A partir de Thonac, nous roulons sur la rive droite de la Vézère jusqu'au Moustier, célèbre site préhistorique où ont été découverts des squelettes néandertaliens. Ce village fait face au site troglodytique de La Roque Saint-Christophe, qui était encore habité sous la Renaissance. Les habitations n'ont été détruites qu'en 1588 pendant les guerres de religion.

Au fond : la Roque Saint-Christophe

Ensuite, nous retournons sur la rive gauche de la Vézère. Les sites remarquables s'enchaînent : la maison forte de Reignac, le Préhisto Parc, le site troglodytique de la Madeleine, le château de Marzac (commune de Tursac), etc. Impossible de tout citer et de tout détailler…

Château de Marzac

A la sortie de Tursac débute une côte que je monte régulièrement. Longue de 3 km, elle a une pente moyenne à 2,5%, la première moitié étant sensiblement plus pentue (autour des 4%). Par curiosité, j'ai regardé sur Strava à quelle vitesse l'avait montée Romain Bardet, l'un des plus rapides du peloton dans cette ascension, le 11 juillet dernier. Il l'a gravie à 33,9 km/h de moyenne! Moi, aujourd'hui, je bats mon record personnel sur cette montée et j'atteins vaillamment les 25,4 km/h, à 1'47 de Romain Bardet. Je perds une minute et quarante-sept secondes en 3 km! Et lui, il ne l'a probablement pas montée à bloc… Sans autre commentaire!

Romain Bardet lors de l'étape en Dordogne (AG2R LA MONDIALE) © ASO/Alex BROADWAY

Aux Eyzies-de-Tayac, la cité du très célèbre Homme de Cro-Magnon, le parcours évite le centre ville et son musée de la Préhistoire mais passe devant l'entrée de la grotte de Font de Gaume, puis de la grotte de Combarelles. C'est l'occasion d'évoquer les nombreuses grottes ornées de la région. La première citée présente des peintures rupestres, la seconde des dessins et des motifs gravés. Aucune des grottes ornées de la région n'approche, même de loin, les peintures de Lascaux. Elles méritent néanmoins une petite visite guidée…

Nous poursuivons en remontant le cours de la Petite Beune par un très long faux-plat montant sur la route de Sarlat… Nous passons à proximité des grottes du Roc de Cazelle, du château du Roc, des Cabanes du Breuil, du château de Puy-Martin… Excusez-moi si je ne m'attarde pas, nous avons de la route à faire…

Grottes du Roc de Cazelle (photo personnelle, avril 2016)

A l'approche de Sarlat, nous effectuons la seconde et dernière variante du jour par rapport au parcours suivi par les coureurs du Tour. Comme à Montignac, ce n'est pas le fruit d'un choix mais le résultat d'une inattention de ma part en effectuant le tracé dans ce secteur. Du coup, le GPS nous fait emprunter la déviation qui contourne la capitale du Périgord Noir… Après coup, je ne le regrette pas même si ça nous prive de photos du lieu car la traversée de Sarlat en cette saison peut s'avérer compliquée tant les touristes y sont nombreux.

Nous filons ensuite directement vers Vitrac-port où nous rejoignons puis traversons aussitôt la Dordogne.

La Dordogne à Vitrac-Port (photo personnelle, mai 2016)

Nous voilà au pied de la première difficulté “répertoriée” du jour, une côte de 4e catégorie comptant pour le classement du Meilleur Grimpeur. La côte de Domme est longue de 3,5 km à 3,3% de pente moyenne, et se termine par un raidard à 10% au sommet duquel les points étaient attribués.

Entrée de Domme, par la porte des tours

Selon les données que j'ai trouvées sur Strava, Elie Gesbert et Yoann Offredo, qui étaient échappés à ce moment-là, ont été les plus rapides sur cette ascension, roulant à plus de 30 km/h de moyenne. Pour ma part, je suis monté à la moyenne de 20,2 km/h, ce qui représente 3'24 de perdues sur les “hommes de tête” au cours de cette seule ascension!…

Les hommes de tête arrivent à Domme : Elie Gesbert (TEAM FORTUNEO - OSCARO) et Yoann Offredo (WANTY - GROUPE GOBERT) © ASO/Alex BROADWAY

Le 11 juillet, lorsque le peloton a franchi la porte très étroite qu'on distingue sur la photo ci-dessus, le ralentissement a été tel que la queue du peloton était à l'arrêt! C'est tout de suite après la porte et le virage à droite visibles sur la photo que se dresse la rampe finale à 10%! Au sommet, je devance Stéphane pour le classement du Meilleur Grimpeur (MG). Avantage à celui qui connaît les lieux!

Sortie de Domme par la porte del Bos

Après la descente sur Cénac et une nouvelle traversée de la Dordogne, nous prenons la direction de La Roque-Gageac… Dans la traversée de La Roque-Gageac, nous sommes très ralentis car il y a un monde fou… Sont-ils venus pour nous encourager? Ou pour admirer le site? Laissons planer le doute…

La Roque-Gageac (photo personnelle, mai 2017)

Bon, ok! Sur cette photo, on ne voit personne, mais je l'ai prise au mois de mai dernier! En ce 28 juillet, c'est tout autre chose. Vu le nombre de personnes qui traversent la route devant nous, je préfère rester vigilant et j'évite de sortir l'appareil photo en roulant… J'attendrai d'être un peu plus loin, sur la route de Castelnaud.

Aperçu, au loin, du château de Castelnaud

Je prends une autre photo “au vol” en arrivant à Beynac… Dans ce coin de la vallée, il y a des châteaux partout! Pas mal comme décor!

Entrée de Beynac

Tout le long du parcours, nous avons vu d'innombrables vélos peints, les uns en jaune, les autres en verts, certains aux couleurs du maillot à pois ou de notre drapeau national… Ici, j'ai voulu en saisir un “jaune” avec un petit château pour le mettre en valeur!

Vélo jaune près du château de Monrecours (Saint-Vincent-de-Cosse)

A Saint-Cyprien, Stéphane négocie mieux que moi le franchissement d'un feu tricolore (je reste coincé derrière une voiture lorsque le feu passe au vert!) et il en profite pour remporter le sprint intermédiaire du classement par points.

Sprint intermédiaire de Saint-Cyprien : victoire de Yoann Offredo. © ASO/Alex BROADWAY

Il est midi pile lorsque nous effectuons notre halte "ravitaillement" à Siorac-en-Périgord. Nous avons déjà parcouru 132 km. La moyenne affichée par le GPS est de 29,5 km/h… Le moins qu'on puisse dire, c'est que nous avons bien roulé! Les jambes ont l'air de vouloir tenir le rythme…

Il est temps de penser à se restaurer un peu à la boulangerie. Nous en profitons pour consommer une boisson bien fraîche et faire remplir nos bidons. Sage précaution car la température sur le final va atteindre les 32°.

Décoration pour le Tour, à Siorac-en-Périgord

Il nous reste désormais une petite cinquantaine de kilomètres à parcourir. Nous repartons très motivés, mais au Buisson-de-Cadouin, à l'endroit même où nous avons pris le train ce matin, nous sommes brutalement freinés dans notre élan par le passage à niveau fermé!

Passage à niveau du Buisson-de-Cadouin

Lors du passage du Tour, le trafic ferroviaire avait été interrompu le temps nécessaire de façon à ne pas risquer de fausser la course. Mais pas pour nous! Nous, nous devons attendre patiemment que le garde barrière veuille bien tourner la manivelle pour remonter la barrière! Eh oui! le passage à niveau du Buisson n'est pas encore automatique!… Une vraie curiosité locale!

Le Buisson-de-Cadouin : les deux échappés, Yoann Offredo et Elie Gesbert, viennent de franchir le passage à niveau. © ASO/Alex BROADWAY

Certes, le passage à niveau a fait chuter notre moyenne. Mais la côte du Buisson-de-Cadouin, située pour nous vers le km 140, ralentit encore plus notre progression. C'est au sommet de cette côte classée en 4e catégorie qu'était jugé le deuxième "MG" du jour, remporté comme celui de Domme par Elie Gesbert.

Elie Gesbert passe en tête au sommet de la côte du Buisson. © ASO/Alex BROADWAY

Concentré sur l'effort (la montée fait 2,1 km à 5,6% de pente moyenne), je n'ai pas pris le temps de lire toutes les inscriptions sur la route. Mais sauf erreur de ma part, je n'ai vu aucun “Allez Claude” ou encore “Stéphane, t'es le meilleur”, mais rien n'interdit de penser que ce joli cœur bleu-blanc-rouge nous était destiné!…

Inscriptions et encouragements dans la montée de la côte du Buisson

En tout cas, au sommet de cette “bugne” (c'est comme ça que les gens du coin désignent les “bosses”), c'est à la régulière que Stéphane me devance de quelques dizaines de mètres… Je n'ai pourtant pas démérité puisque je suis monté à 17,8 km/h de moyenne (à comparer aux 27,4 km/h des deux hommes passés en tête le 11 juillet).

Une fois franchie cette dernière difficulté du jour, il nous reste à redescendre sur les rives de la Dordogne et à finir par une grosse trentaine de kilomètres de plat jusqu'à Bergerac. Sur cette portion finale, entre Calès et la ligne d'arrivée, notre moyenne est supérieure à 32 km/h… Autant dire que nous ne musardons pas, malgré un léger vent de face!

Le maillot jaune à Lalinde

Le 11 juillet, l'arrivée à Bergerac s'est soldée par un sprint massif remporté très largement par Marcel Kittel. Le vainqueur a parcouru les 178 km en 4h00'59". A titre de comparaison, nous avons mis 6h09'00", mais nous avons fait quelques kilomètres de plus au départ, soit 182,4 km (190 km en tout avec le trajet matinal pour aller prendre la train, non inclus dans le temps de parcours ni dans le calcul de notre moyenne).

Ça nous fait tout de même environ deux heures de retard par rapport au vainqueur du jour. En bref, nous sommes “hors délais”, malgré notre moyenne très honorable de 29,8 km/h (avec 1121 m de dénivelé positif enregistrés par mon GPS)! Mais pour nous, la route n'était pas privatisée! Ça change tout! Le jury des commissaires, composé de Stéphane et de moi-même, a donc décidé à l'unanimité de nous repêcher!

Victoire de Marcel Kittel à Bergerac (photo Internet)

Comme les pros du Tour de France, nous avons terminé notre étape du Tour sur la Plaine des Jeux de Picquecailloux, à Bergerac. Les photos ci-dessus et ci-dessous ont été prises au même endroit, mais il est bien difficile de s'en convaincre.

Arrivée de Stéphane à Picquecailloux

Il est 14h à peine et je ne pensais vraiment pas que nous arriverions si tôt. Nous avons mis 6h40 pour venir de Périgueux, arrêts compris. Pour ma grande satisfaction, mes jambes ont tenu jusqu'au bout, même si durant les vingt derniers kilomètres, je n'avais plus assez de jus pour relayer Stéphane.

Comme les grands leaders des équipes du Tour, j'ai pu mesurer à ce moment-là l'énorme avantage d'être bien calé dans la roue d'un équipier de luxe! Même si, contrairement aux pros, j'avais pris jusque là ma part de relais.

Il me reste à solliciter Stéphane pour emporter un souvenir de mon arrivée à Bergerac.

Bergerac : Plaine des Jeux de Picquecailloux

Pour conclure, je voudrais donner la parole à quelques coureurs professionnels. Je me suis amusé à lire les commentaires que quelques-uns d'entre eux ont publié sur Strava.

Pour Arthur Vichot, il s'agissait d'une… « Visite du magnifique patrimoine français!! », visite effectuée à 43 km/h de moyenne….
Nicolas Edet qualifie ainsi cette étape : « A travers la plus belle région de France » (43,5 km/h).
Romain Bardet préfère faire allusion à l'étape de repos de la veille : « Remise en route bucolique », une sorte de promenade de santé… effectuée à 44,2 km/h.

J'ai gardé pour la fin le commentaire qui me plaît le plus, celui de l'Allemand Marcus Burghardt, qui confirme que les coureurs pros n'ont pas nécessairement le nez dans le guidon : « Quel beau parcours aujourd'hui. J'ai vraiment regretté de ne pas avoir mon téléphone dans la poche. Cette région de Dordogne est si belle. » (traduit de l'anglais pas mes soins).

Moi, j'avais mon appareil… J'ai pris des photos… Mais j'ai quand même regretté de ne pas pouvoir en prendre davantage… Pourtant, contrairement aux coureurs du Tour de France, je n'étais pas venu là pour faire du tourisme! Cela dit, tant qu'à faire une “Étape du Tour" à rythme soutenu, autant que ce soit dans un décor exceptionnel!

Claude
Photos personnelles, sauf mention contraire

LIENS :

➜ La page officielle sur le site du Tour : Etape 10
➜ Trace sur Openrunner, donnée à titre indicatif : 7429929 (erreurs corrigées)

➜ Mon enregistrement sur Strava :


4 commentaires:

  1. Super idée de reportage ,C'est vraiment sympa de montrer les pros et vous au même endroit . En plus vous avec roulé comme des champions !!!

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    1. Merci Jean-Pierre.
      Je me suis régalé à faire cette "étape du Tour", puis je me suis de nouveau régalé à faire le compte-rendu! Bref, une super expérience à tous points de vue.

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  2. J'ai tout lu (car j'aime toujours autant ta prose toujours parsemée de plaisanteries Claude :-) Belles photos et bonne idée que de faire ce parcours dans cette admirable région.

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  3. Merci Patrick. Je suis content que tu aies pris du plaisir à partager ainsi notre aventure!

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